Aliya Affdal
Candidate au doctorat en bioéthique à l’Université de Montréal, la recherche d’Aliya Affdal utilise des méthodes mixtes pour étudier les enjeux éthiques, légaux, sociaux et politiques de l’oncofertilité, par cryopréservation de tissu ovarien. Elle est titulaire d’une maîtrise en éthique médicale de l’Université René Descartes et d’une maîtrise en management et gestion des établissements de santé de l’Université Denis Diderot, à Paris. Aliya est directrice scientifique de la Revue canadienne de bioéthique/Canadian Journal of Bioethics. Elle est également consultante pour le comité d’éthique de Transplant Québec et enseigne l’introduction à la bioéthique à l’Université de Montréal (BIE 6000).
Charles Marsan
Titulaire d’un baccalauréat en biologie de l’UQAM et d’un doctorat en médecine vétérinaire de l’Université de Montréal, Charles Marsan a pratiqué la médecine vétérinaire au Québec chez les animaux de ferme et de compagnie pendant quinze années. Depuis 2005, il s’intéresse à la recherche sur le harcèlement moral chez les professionnels. En 2010, il termine un baccalauréat par cumul de certificats en rédaction, journalisme et multimédia, puis, il réalise une maîtrise en bioéthique sur les enjeux soulevés par les conflits d’intérêts en pratique vétérinaire des animaux de compagnie. Vidéaste engagé à promouvoir le transfert de connaissances académiques, il est notamment webmestre pour diverses équipes québécoises de recherche.
Ely Mermans
Candidat au doctorat en philosophie à l’Université de Montréal et à l’Université Paris 1 Panthéon-Sorbonne, Ely Mermans (il/lui) poursuit actuellement (2021-2022) ses recherches au Konrad Lorenz Institute (KLI), en Autriche. Sa thèse porte sur la relation du concept écologique d’espèce clé de voûte aux éthiques environnementales écocentrées. Ely Mermans est également affilié au Centre interuniversitaire de recherche sur la science et la technologie (CIRST, « Montréal ») et à l’Institut d’histoire et de philosophie des sciences et des techniques (IHPST, Paris). Enfin, il est membre étudiant du Groupe de recherche en éthique environnementale et animale (GRÉEA, « Montréal »).
Vincent Mousseau
Candidat au doctorat en criminologie (boursier Vanier) et chargé de cours à l’École de Criminologie de l’Université de Montréal, ainsi que chercheur associé au Laboratoire de Recherche en Criminalistique (LRC), Vincent Mousseau est détenteur d’un B.Sc. en chimie profil criminalistique de l’Université du Québec à Trois-Rivières et d’une M.Sc. en criminologie option criminalistique et information de l’Université de Montréal et de l’Université de Lausanne. Sa thèse porte sur l’élaboration et l’affinement des stratégies de recherche de traces matérielles par les techniciens en identité judiciaire, et ses travaux de recherche s’intéressent plus généralement à la prise de décisions en contexte d’investigation de scènes de crime, au déploiement des ressources forensiques dans les corps policiers et à l’exploitation des traces matérielles à des fins de renseignement. Vincent a également travaillé au Laboratoire de sciences judiciaires et de médecine légale (LSJML) et à l’École Nationale de Police du Québec (ENPQ).
Simon St-Georges
Candidat au doctorat en science politique et chargé de cours à l’Université de Montréal, boursier Vanier, et avocat, les recherches de Simon St-Georges portent sur le pouvoir politique des entreprises multinationales, la criminalité corporative et les enjeux environnementaux. Simon est titulaire d’une maîtrise en science politique de
l’Université de Montréal, puis d’un double baccalauréat en droit civil et Common law ainsi que d’un baccalauréat honors en science politique de l’Université McGill. Il a exercé dans un cabinet d’avocat de renommée internationale avant de poursuivre ses études supérieures. Il enseigne par ailleurs le cours Enjeux du développement durable (EDD 6010).